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Oracle Cloud Infrastructure : Un Cloud pas comme les autres ?

Le Cloud Computing devient incontournable. De plus en plus d’organisations décident aujourd’hui d’adopter le cloud pour héberger leurs infrastructures informatiques, leurs données et applications d’entreprises. Peu à peu, le Cloud remplace les infrastructures On Premise dans les entreprises de toutes les industries. Son principal avantage est de permettre aux organisations d’accéder de manière agile et élastique à des ressources informatiques sans investissement hardware et sans avoir à gérer leurs plateformes sur site.
Si le marché du Cloud Computing reste à ce jour dominé par Amazon Web Services et Microsoft Azure, Gartner publiait en juillet 2020 qu’« il était temps de considérer sérieusement Oracle en tant que fournisseur de Cloud public ».
Oracle a donc attaqué le marché du Cloud Computing après ses principaux concurrents. Pourtant son origine remonte déjà à plus de 13 ans.

 

Quelle est l’origine du Cloud chez Oracle ? 

En 2007, Oracle a adopté une approche SaaS First et a re-développé l’ensemble de ses applications Métiers existantes On Premise. Oracle Fusion Applications a été lancé en septembre 2010, puis Oracle HCM en octobre 2011 et Oracle ERP Cloud en juin 2012.
Il y a 6 ans, Oracle a démarré son offre PaaS (Platform-as-a-Service) et IaaS (Instractuture-as-a-Service).

C’est en observant les écueils des clouds de première génération qu’Oracle a bâti les fondations d’un cloud ouvert, réversible, plus sûr, plus performant, plus autonome mais aussi moins cher.ALEXANDRE LACREUSE

Ainsi, Oracle qualifie son Cloud de « deuxième génération », un Cloud d’Entreprise, pensé pour accueillir les applications les plus critiques, lancé en octobre 2018.

 

La sécurité au coeur de la conception de l’architecture d’Oracle Cloud Infrastructure

L’architecture de sécurité d’Oracle Cloud Infrastructure prévoit de séparer les environnements auxquels accèdent les équipes Oracle pour opérer son Cloud, des « tenants » où les clients hébergent leurs données à travers une isolation physique. Cette isolation permet de se prémunir d’une potentielle propagation d’attaques vers le Cloud Oracle ou d’un compte client vers un autre client.
L’isolation des tenants constitue un point majeur différenciant les cloud de première génération de ceux de deuxième génération. Oracle propose une gestion des clés et un chiffrement de bout en bout par défaut, estimant que la sécurité est également essentielle au niveau des données.

Le chiffrement par défaut de toutes les données permet de garantir que seul le propriétaire des données puisse y accéder, et qu’aucun autre acteur, pas même Oracle ne puisse les lire. Aussi, le contrôle des clés de chiffrement par le client est la seule solution permettant d’assurer avec certitude que les données ne seront jamais lisibles par une tierce personne, notamment en cas de recours à des lois extraterritoriales.ALEXANDRE LACREUSE

 

Le plus haut niveau de performance, garanti par SLA !

Que serait l’expérience utilisateur sans un temps de réponse au rendez-vous ?La performance constitue naturellement un critère essentiel à la réussite de tout projet Cloud. Il est aussi question de la prédictibilité de cette performance. Une constance de la performance dont souffre parfois les clouds de première génération.
Différence majeure chez Oracle, la performance se veut prédictible, puisqu’Oracle s’engage par SLA, Service Level Agreement, ce qui est absolument unique sur le marché à ce jour !
La performance est aussi corrélée au coût. La facturation dépendant de l’usage réel, la performance impacte directement le coût du cloud.

Si vous avez la possibilité d’exécuter 2 fois plus d’opérations en 1 heure, cela signifie tout simplement que vous payerez 2 fois moins.ALEXANDRE LACREUSE

Ainsi, la performance est une obsession chez Oracle qui entend proposer le meilleur ratio prix/performance du marché. Véritable leitmotiv de son fondateur, Larry Ellison, qui au lancement d’Oracle Cloud Infrastructure en octobre 2018, prétendait offrir un Cloud non seulement moins cher, mais aussi plus performant en promettant notamment de réduire de moitié la facture payée chez Amazon. 

 

Oracle Cloud Infrastructure semble être moins cher qu’AWS sur plusieurs axes :
  • Premièrement, les frais de connectivité à son réseau seraient 74 % moins élevés que ceux d’AWS.
  • Deuxièmement, Oracle offrirait un rapport prix/performance plus de 2 fois supérieur à celui d’AWS sur la puissance de calcul CPU.
  • Troisièmement, Oracle offrirait des performances similaires à celles d’AWS sur ses supercalculateurs HPC, mais est 44 % moins cher et fournirait des disques SSD locaux, avec deux fois plus de RAM, un réseau RDMA et un accord de niveau de service. Enfin, pour le stockage en bloc, Oracle offrirait jusqu’à 20 fois plus d’IOPS qu’AWS pour moins de la moitié du coût.

A suivre dans la seconde partie : ouverture et réversibilité, Cloud at Customer, interopérabilité multi-cloud, technologies autonomes.

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